Comme ils disent...

L’heure avance, je dois m’arracher de ton livre à la page 168, cruel effort !
C’est du grand art, très rythmé, très ingénieux, très émouvant… je t’en dis plus dès que je termine, mais déjà un grand bravo !
Après la page 168, tout s’arrange, on respire mieux, on se méfie déjà des russes, on constate une fois encore que le champ de tes phantasmes ne s’encombre pas de vertus, on se réjouit d’un final plein d’amour, où l’on mesure une fois encore toute ton humanité et ta gentillesse. Et, à la toute fin, une fois encore, on regrette de devoir attendre le prochain « Neyret » !
Christian Piel


Bonjour René,
J’ai passé un super moment à lire « Les filles d’Ariane ». L’intrigue est superbement amenée et on reste scotché du début jusqu’à la fin. L’écriture fluide, incisive, est très agréable. C’est assurément le meilleur de tes ouvrages.
Ton travail sur les personnages est remarquable. Attachants, déjantés, ils sont tous parfaitement crédibles. À leurs égards, on ressent de l’auteur, beaucoup d’affection, de tendresse. Les différents états d’âme des protagonistes sont très bien rendus.
Le déroulement des différentes actions ainsi que les lieux où elles se produisent sont décrits avec minutie et rigueur ce qui procure à l’ensemble une légitime véracité.
L’exemple de la mise en situation des forces de polices, et du RAID, la préparation, l’aspect décisionnel venant des autorités «politiques», et finalement leur intervention ; c’est du documentaire, du vécu.
J’ai d’autant eu plus de plaisir à lire que le récit se déroule dans les milieux industriels que j’aime énormément, milieux de la haute technologie, de l’aéronautique et de l’espace. C’est de l’histoire présente où fiction et réalité se confondent parfois. C’est le monde de la concurrence exacerbée, du leadership à maintenir, de l’innovation à concevoir et des défis à résoudre pour la sécurité des «process» et des brevets. Safran rechignant actuellement d’équiper de ses moteurs les plus récents, le C919 chinois futur concurrent du A320.
On se laisse charmer tout au long du récit. L’apport de très intéressantes citations, d’anecdotes, de références, donnent à celui-ci, respiration et rythme. L’évocation des plats et coutumes des pays de l’est, quel régal ! On hume aussi aux grands crus annoncés. En fait, le lecteur est comblé de tous ses sens, et on l’imagine bien, captivé, détendu, à la plage, sur l’herbe ou chez lui, un apéro à la portée de sa main.
Au-delà de l’intrigue, ce roman est surtout l’expression affirmée d’une foi à l’amitié et à la camaraderie, à la solidarité, à l’amour, à la tendresse, au respect de l’autre. Un seul regret toutefois, j’ai été peiné pour le malheureux adjudant Delarbre qu’il n’ait pas pu profiter de sa retraite.
C’est un très bel ouvrage, bravo et merci.
Joël


René Neyret a un style aisé, une écriture élégante et un vocabulaire choisi et raffiné. Avec son enthousiasme il pourrait nous entrainer dans tous les univers. Pour un romancier c’est déjà bien !
Dans « Les filles d’Ariane » avec son co-auteur Bruno Ceccarelli, il a mis sa conviction et sa passion
dans un roman policier politique : c’est assez rare de trouver des « polars » écrits avec tant de délicatesse et d’efficacité mêlées.
Un enlèvement d’enfants sur fond d’Arianespace et de Mafia Russe… de quoi donner des frissons à tous les amateurs du genre.
L’intrigue et les personnages finement ciselés et attachants nous accrochent dès les premières pages et ne nous lâchent plus. Ce joli roman a presque un parfum de Claude Sautet.
À lire donc, sans modération.
Marie Laure L. M.


Hello Bruno !
Cette semaine on est partis quelques jours dans le Var et j’en ai profité pour lire ton livre que je n’avais pas encore lu et qui attendait patiemment d’être dévoré ! On te retrouve bien a travers certaines phrases ! Quelle histoire! Et les jumelles ! A quand le film ? En tout cas BRAVO ! Tu m’as passionnée et régalée ! Mille bizoooos et a très vite.
Martine


« L’avenir n’appartient pas à ceux qui se lèvent tôt mais à ceux qui se lèvent de bonheur. »
Jolie citation de Bruno Ceccarelli co-auteur de « Les Filles d’Arianne » éditions monvillage. Livre que je vous recommande …
Jackie


Cher René,
J’ai lu ton livre d’une traite et te remercie pour ta gentille dédicace.
Un récit palpitant et bien ficelé qui eut aussi l’avantage de me faire voyager et revisiter mes notions de Russe et d’aéronautique (Eurocopter, Dassault Falcon..).
On a envie de faire la connaissance de Juliette, Cass et autres personnages hors normes.
Merci pour ce moment passé et bravo pour cet ouvrage.
A bientôt
Amicalement,
Patrick


J’ai beaucoup aimé ce roman, non seulement parce que son auteur René est mon ami et qu’il est inscrit dans le cadre d’Arianespace qui m’a beaucoup fait rêver, mais aussi parce qu’il est remarquablement écrit pour maintenir en permanence l’intérêt du lecteur.
Tous les personnages, les lieux, les décors sont minutieusement décrits dans un style imagé pour que le lecteur se familiarise avec eux. On y découvre également avec gourmandise plein d’outils, tintins, nanodrônes,… peu ou pas connus du grand public et qui bien sûr font merveille.
J’ai particulièrement apprécié le personnage de Tatiana la ravisseuse, un cerveau machiavélique impressionnant avec des traces d’humanité inattendues vis-à-vis de ses fils…
Les péripéties ne manquent pas, à la limite souvent du vraisemblable, mais on s’y amuse vraiment et on rit de plaisir quand les stratagèmes réussissent … presque ! comme la réalisation d’un clone d’un tableau de grande signature !
Bien sûr, on n’imagine pas que les petites filles ne retrouvent pas in fine leurs parents mais jusqu’au bout on se demande quelle sera la combinaison gagnante qui amènera ce succès.
Bravo !!!
Philippe J.


J’ai beaucoup apprécié ce livre. L’intrigue est originale. Le suspense jusqu’au bout. Une écriture concise. J’attends avec impatience le prochain.
Alain A.


Moi j’l’ai acheté plus cher mais j’ai la super dédicace de l’un des auteurs. Je profite de l’occasion pour les féliciter d’avoir mené cette histoire avec un ton léger, des personnages très construits et une intrigue classique mais bien ficelée.
Des bises autant que des félicitations d’une qui a commencé à écrire quelques bouquins… mais sans jamais parvenir à en terminer aucun.
Blandine DDB


Je viens de terminer le thriller ! Un bon suspense qui se complique et donne envie au fil de la lecture de connaître la suite. Un peu d’espionnage moderne. Une histoire de famille et d’amour qui se termine bien et se prolonge. Et en plus j’ai enrichi mon vocabulaire ! Il était temps
Je le passe à Mon Bruno Maintenant !
Catherine


Bonjour,
Je te fais un commentaire sur le livre : j’ai passé un très bon moment en compagnie des filles d’Ariane. L’écriture est concise et le livre est facile à lire. Le livre est original dans la mesure où il y a deux parties : l’enlèvement, la rançon et la récupération de la rançon.
Depuis le début, je me suis demandé ce que venait faire dans l’histoire la maîtresse de Fremont ; j’ai pensé qu’elle était organisatrice de la prise d’otages.
La récupération de la rançon sur les périphériques est très originale. La surveillance du pavillon où se sont installés Tatiana, ses fils et les jumelles, organisée par le RAID est très bien documentée, surtout avec la présence d’un nano drone.
Le personnage de Tatiana me paraît un peu léger ; en effet, on voit mal dans une organisation mafieuse preneur d’otages mandatée par une organisation puissante de récupérer en plus de sa mission de l’argent à titre personnel.
Le livre est bien documenté ; j’ai passé un excellent moment.
Je t’embrasse.
Alain


Bonjour,
Et bien sache que « les filles d’Ariane » m’a beaucoup plu: l’intrigue est bien menée, les personnages sonnent juste et puis personnellement, j’ai été contente d’y voir des lieux connus et de t’y reconnaître, toi.
Danièle H.


Hello René,
J’espère que ton reconfinement s’est bien passé et que tu t’es consacré à nouveau à l’écriture. J’ai lu ton bouquin avec intérêt, tu écris vraiment très bien.
Fluidité, excellente maitrise des dialogues et bien sûr documentation pointue sur les drones, les icônes, les armes … j’ai une petite question à te poser : pourquoi avoir révélé dès le début que la libération des filles s’est bien terminée ? …et ne pas avoir maintenu le suspense jusqu’à la fin… je pense qu’il y a une raison ?
Donc félicitations et bonne continuation.
Amicalement,
Fred


Réception de l’ouvrage tant attendu !
Un polar soft fluide et agréable à lire avec quelques inspirations finales Bureau des légendes, bon enfant.
Pour ma part, lecture bien appréciée ! Page 85 j’ai relevé une faute de grammaire… sans rire.
Merci les Amis pour ce bon moment. À quand les prochaines aventures ?
Baisers
Martine


Bonsoir René,
Sortant de chez Sophie et Thomas, par quelques mots vous avez éveillé ma curiosité. Comment rester dans l’ignorance de la lecture d’un auteur couardais !
Comme je vous l’avais dit je ne suis pas un lecteur de romans. Je lis pour apprendre et par curiosité sur des sujets divers et variés.
Qu’ai-je donc appris à la lecture de ce roman ? La référence des meilleures armes de poing !!!
Par contre, ma curiosité a été assouvie : la lecture est facile, l’histoire est d’un réalisme surprenant, le rythme est soutenu et à la fin de chaque chapitre on a envie de poursuivre. Une bonne détente.
Au-delà, le couple Frémont, affublé de clichés qui le rendent totalement antipathique, finit par devenir sympathique et porteur d’un message que révèle l’épilogue : le choc généré par des évènements imprévus et exceptionnels sont l’occasion de reprendre sa vie sur de nouvelles bases.
Amitiés de lecteur.
Marc-Antoine


Cher Bruno,
Je referme « les filles d’Ariane ».
L’intrigue, bien que restant différente et donc originale, m’a un peu fait penser aux enquêtes de petit consul Aurel Timescu et votre écriture à son auteur Jean Christophe Ruffi, ce qui pour moi (et tant d’autres bien sûr) qui aime beaucoup Ruffin (au surplus un compagnon de St-Jacques de Compostelle : je ne sais pas si tu as lu son livre sur son chemin : si ce n’est pas le cas, fais-le) n’est pas le moindre des compliments .
Puisse être un signe que les filles d’Ariane connaitront le même succès et ses auteurs les mêmes destinée et renommée (sans aller jusqu’au Goncourt … : il ne faut rien exagérer … il faut savoir rester modeste !)
Transmets mes félicitations à ton co-auteur René.
Bises
Marc


Cher ami,
Je viens de dévorer votre livre en une matinée. J’avais besoin de me détendre après deux jours d’assises et, une fois n’est pas coutume, un acquittement. J’ai vraiment passé un très bon moment et vous adresse mes sincères félicitations. J’espère que nos routes se recroiseront un jour, qui sait ? Très cordialement.
Benoît

Chers et fidèles lecteurs, donc cher Bruno et cher René, bonsoir ! Vous me pardonnerez j’en suis sûr d’avoir quelque peu procrastiné, dans la tâche que vous m’avez fait l’honneur de me confier voici quelques semaines : celle d’étriller – au sens cavalier du terme : frotter avec une brosse métallique pour redonner au poil son lustre – votre dernier ouvrage, cette « ligne de mort » qui marque mon bureau et ma conscience d’une rude griffure, belle couverture soit-dit en passant, qui me rappelle qu’il faut que je m’y mette. Voilà, je mets à profit un long week-end neigeux dans mon Bugey favori pour refuser, malgré les copieuses Saint Jacques aux endives confites et le délicieux Meursault les Mareuils 2013 de chez l’excellent M. Germain dégustés ce midi, une promenade idiote dans le froid, assurance de nez rougi, de pieds gelés et même de courbatures, au prétexte d’un travail urgent, et confortable, bien au chaud au coin du feu.
Un petit point d’ordre, tout d’abord. Il y a quand même un peu d’arnaque dans l’air. Cette livraison n’est pas une surprise, elle a même un sacré goût de revenez-y. Par mail en date du 18 Aout 2018, j’avais déjà eu droit à une mouture de cet ouvrage. Je l’ai évidemment immédiatement reconnu, je ne fréquente pas tant que ça les romans de belle facture en primeur et je ne suis pas encore gâteux, mais j’en ai été un peu déstabilisé … Il faudrait quoi, que je me lance dans une étude comparée de l’évolution de l’œuvre ? En pointant ligne à ligne ce qui déjà été gommé, arrangé, reboutiqué ? Ou simplement, souhaitez-vous qu’enfin, je vous donne mon sentiment sur votre enfant commun ?
Je sens une clameur monter de la salle : oui, ton avis, ton avis !
D’accord, d’accord. Première chose :  soyez rassuré, l’enfant vivra ! Malgré ses boutons, son impetigo, ses couches un peu trop serrées et ses difficultés respiratoires. Nan, je déconne, il s’est bien présenté. Pas par le siège, ce qui est presque dommage, on aurait eu droit à un peu de génital, j’y reviendrai, qu’est-ce que vous êtes coincés du cul, mon Dieu… C’est bien dommage. Non, l’enfant vivra parce qu’il est suffisamment vigoureux pour même à la seconde lecture vous prendre à la gorge – bon, par le bras, n’exagérons pas – pour vous emmener au bout, jusqu’à ce bel épilogue dans lequel Jack détruit enfin la branche qui avait retenu le corps d’Isabel.
Ce repassage a été bien plus facile, pour moi. Me suis-je habitué à votre style, ou l’avez-vous un peu épuré ? Je ne ferai pas d’analyse comparée de textes entre la version 2018 que je dois encore avoir quelque part et celle-ci, ça risquerait d’être fastidieux. Mais j’ai eu l’impression que c’était plus lisse, plus fluide, et débarrassé de nombreuses lourdeurs. Rassurez-vous, il en reste, mais elles ne sont que de forme.
Comme je ne peux pas m’en empêcher – j’ai un mauvais fond – en voici une petite recension, non exhaustive.
– P 41, Preston accueillant sa nièce « risqua un jeu de mots » : mauvais, le jeu de mots (« tu as la pêche ? »), inutile de susciter la curiosité pour lui, d’autant qu’on dirait un commentaire de M6 …
– P 103/104, typographie agaçante du dialogue alex/samy … L’italique, c’est pour faire comprendre qu’on écoute une conversation téléphonique ? Vous avez parfois des petits écarts difficiles à suivre, notamment quand vous transcrivez les paroles des livrets d’opéra – on est très impressionnés que vous les connaissiez, mais on aimerait les comprendre sans avoir à se plonger (à notre tour, allez, souriez…) dans Wikipedia ou un dico italo-français. Idem pour « daffodils ». Détails, bien sûr mais qui grippent un peu la mécanique, comme les encore trop nombreuses fotes de frap et d’ortograf qui vous ont échappé.
– P139/140 : « « voilà le mail que je viens de recevoir », entama Farès. Apparut sur l’écran le texte suivant … »  On se doute bien que ça ne s’incruste pas dans le ciel étoilé ! C’est une phrase lourde et inutile, ce petit défaut vous rattrape souvent : on dirait que les ellipses vous font peur, ou alors que les traces d’une ancienne vie dévolue au droit, à la précision méthodologique et aux argumentaires méticuleux voire fastidieux vous font oublier l’art de la dramaturgie, dopée par les raccourcis, les sauts de carpe et les accélérations. Les traductions tâcheronnes du code, ensuite, seraient moins indigestes si vous osiez vous lancer dans quelques allégements …
– P 199, quand Monegal va voir les filles … « Je lui laissai un quart d’heure et pénétrais dans… » et plus rien. Donc, dans quoi ? Dans le bordel, dans une fille ?  Manquent des mots. Ou alors, c’est un teasing raté …
Enfin bref : rien qui ne puisse être arrangé par un bon correcteur anarco- syndicaliste comme il doit encore en exister quelques-uns, grognons et buveurs mais plus fiables que les machins automatiques des ordis.
Passons au gras, maintenant. Au fond, au texte, aux personnages et à l’intrigue. Jack, j’aimerais bien qu’il existe plus… C’est le narrateur, on devrait plus le sentir, le visualiser, l’accompagner …Vous savez tricoter des moments réussis, par exemple quand Farès prend les choses en mains et que Jack accepte de faire le second couteau : il dit très bien que ça l’étonne, mais qu’il comprend bien la nécessité de cette petite faiblesse… Mais je ne sais toujours pas s’il est grand, chauve ou hirsute, ni s’il aime les Harleys ou les Triumph, ou quel est son type de femme … A ce propos, Josefa, pareil, on ne sait pas s’il elle a beaucoup de bois devant sa cabane, comme disent joliment nos amis teutons, si elle tient dans la main ou s’il faut un escabeau pour la culbuter, comment elle rosit quand elle se laisse aller … Voilà, je m’emballe, c’est vous dire pour en revenir quelques paragraphes plus haut, combien vous êtes pudiques et coincés (dans vos textes, hein, je sais bien qu’il n’en est rien dans vos vraies vies …) et donc comment moi, ordinaire lecteur, je me sens frustré. Ou pas assez émoustillé… Franchement, en fin d’ouvrage, quand ce bon Jack dit « je rentre à ma cabane en compagnie de Josefa afin de reprendre notre discours amoureux où nous l’avions laissé », ça ne fouette pas vraiment les sangs… Osez,  quoi ! Qu’il lui arrache sa jolie robe imprimée avec les dents en la clouant contre un grand chêne, avant de l’achever dans un râle de bonheur sur son lit de rondins en lui démontrant l’utilité des glands… Bon j’arrête, vous êtes plus raffinés que moi, vous diriez ça avec beaucoup plus d’élégance et de ruse, en inversant par exemple les rôles et en décrivant cette bonne poire de Josefa comme une fieffée dominatrice ne reculant devant aucune initiative à l’encontre du machisme de la gent masculine et de ce couillon de Jack. Concession à l’air du temps…
La seule qui soit décrite de façon aguichante, c’est la femme de Preston, Cathy : expédié en trois lignes, son portrait fait mouche. Marrant, c’est une rousse, je dis ça, je ne dis rien. Lily aussi mériterait mieux dans la description, tout comme Preston réduit à un chapelet d’injures (« pédoque » et « vieille tante », faites gaffe aux mots, ceux-là ne sont plus de saison …), alors que son ébauche est super prometteuse. Il y aurait là de quoi fabriquer un beau rejeton de Trump et de Bérurier, du grivois et du matois, pour nous faire sourire et réfléchir … Comme tous les gens de ce roman d’ailleurs, qui ont tous un petit grain qui excite la curiosité, mais que vous n’exploitez pas assez, à mon humble avis. J’aimerais notamment un peu plus de finesse psychologique, ce que vous avez très bien fait avec Farés, personnage le plus abouti selon moi  de cette série de pittoresques. Discret, pudique, vie de famille réussie et sereine, mais aussi monstre froid sans état d’âme : bingo.
L’intrigue me va tout à fait : on n’est pas chez Yourcenar, certes, mais au moins, on ne s’emmerde pas. Ca rebondit comme il faut, c’est tordu et abracadabrantesque, les traîtres à la cause sont justement punis par des chutes du vingtième étage, les deux frères tchétchènes ont inventé une jolie technique (piquée dans un de vos vieux dossiers, Maître ?), le tycoon de presse meurtrier et épouvantable (Hersant, Hutin ?) est bien puni, les Tchétchènes continuent à se taire : toutes les lois du genre sont respectées. On est bien dans un roman policier, l’intrigue est résolue, les méchants sont mis hors d’état de nuire, les héros peuvent goûter à un repos (du guerrier) bien mérité. Et on peut même écraser une larme dans le prologue. Le tout sans jamais réfléchir à ce qu’on pourrait en dire, parce que ça se lit d’une traite et sans prendre de notes, c’est très difficile de critiquer et de faire son désagréable quand on se fait avoir par un modèle aussi efficace de « page turner»…
Donc mission accomplie, Messieurs. Rompez. Et pondez en un autre.
Bien à vous,
JYH

Cher René Neyret,
Merci de m’avoir adressé votre « Une enfance au café ». Je l’ai lu avec grand plaisir et j’y ai retrouvé plus d’un souvenir. J’étais un enfant de la ville mais je devenais campagnard aux vacances et les week-end, je connais donc les vogues, le bruno, la batteuse, la vidange des boutasses et les vers de merde…
Votre texte est plein de verve et d’anecdotes savoureuses, plein de personnages hauts en couleurs dont le modèle s’est perdu dans le temps qui passe. Vous avez su le retenir un moment et ce n’est pas la moindre qualité de votre texte.
Bien à vous,
P.F.


Ce récit est écrit avec simplicité, naturel, émotion, tendresse… comme si c’était l’enfant de six ans qui s’exprimait. Le lecteur que je suis, né à la campagne où le café était aussi le seul commerce, se trouve avec enchantement, plongé dans ses propres souvenirs d’enfance : l’étang, la pêche, le vin ou le cidre, la cabine téléphonique, la planche au-dessus de la fosse, les chats, la fête au village, le tueur de cochon, la batteuse…, mais aussi le travailleur, le courageux, le simplet, le poivrot, la Janine, le poilu, le curé…un cadre de vie dure qui n’est pas si lointain, mais où l’on savait être heureux.
Ce qui n’est pas coutumier dans l’enfance de René, c’est le fait que ses parents, travaillant six jours sur sept à l’usine, le confièrent à ses grands-parents qui tenaient le café du village. Le petit René, fût donc élevé au milieu du café. Il « aimait bien sa grand-mère et son vieux », mais « qui n’a pas de problème avec le manque de papa maman ».
MASP


Ton livre apporte un témoignage exceptionnel sur ce qu’était encore au milieu du 20 e siècle une population de l’intérieur du pays, laborieuse, déchristianisé, à la charnière entre un mode de vie ancestral et la modernité des trente glorieuses.
Tu ne fais pas de grands développements mais tu peins précisément des lieux, des scènes, des situations grâce à une écriture simple et agréable où perce ta tendresse vis-à-vis de ceux qui t’ont entouré de leur affection.
Jean-Marie N.


Bonjour,
Presqu’un an s’est écoulé depuis notre rencontre au cours de laquelle vous m’aviez offert votre livre à la condition redoutable de vous dire ce que j’en pensais.
En vérité je n’en ai entrepris la lecture qu’avant hier et ne l’ai terminée … qu’avant hier.
Je veux dire que je me suis régalé au point de délaisser toutes les obligations du bord. Petit-fils d’une aubergiste creusoise, (mon grand père était mort « des suites de la guerre », c’est à dire cyrrhotique, bien avant ma naissance) j’ai retrouvé, joliment écrits, tous les aspects de la vie à la campagne à cette époque. Les personnages, les batteuses, les parties de pêche, la fête au village. J’ai souri tout du long et souvent ri.
En un mot je vous remercie pour ce cadeau qui devrait être prescrit à tous les dépressifs et remboursé par la sécu.
Peut être à nouveau dans l’île de Ré.
Amicalement.


Cher René,
J’ai lu votre livre avec grand plaisir, ce bon goût d’enfance comme une gorgée de miel… Ce fût un moment paisible, réconfortant dans lequel se retrouve avec joie toute une génération. Je vais le prêter à mon cercle de lecture et vous appellerai ensuite pour un débat, peut-être.
Merci pour ce bon moment passé dans votre douce enfance.
Bien amicalement,
Anne K


… Certes je n’ai pas passé « mon enfance au café », mais à la lecture de l’ouvrage, énormément de souvenirs sont revenus. Ces caractères ruraux bien marqués, ils existaient aussi dans le Poitou. L’attention pour ne pas gâcher, tuer le cochon, la cuisinière, etc… Bref, j’ai retrouvé un monde disparu. Quelles différences de mode de vie avec le monde d’aujourd’hui. J’avais même moi aussi le maillot de bain tricoté, dont j’avais une honte tu ne peux pas imaginer. Mais les après midi d’été sur la plage du Clain à Vivonne, étaient tellement agréables que je le mettais quand même.
Merci d’avoir fait revivre tous ces moments enfuis.
A bientôt.
Brigitte


J’ai beaucoup apprécié la lecture de ce récit… qui se lit comme un roman policier. J’y ai retrouvé des expressions connues mais rarement utilisées de notre jour : « aller manger sur l’herbe » et les articles devant les prénoms (très drôle).
Je pense que chacun devrait écrire un livre sur sa vie car cela est aussi une thérapie. Merci à vous.
Françoise, Draguignan


Je viens de lire ton dernier bouquin « Une enfance au café ». Ça m’a énormément touché. J’ai adoré ce livre, ça m’a ramené évidemment à des tas de souvenirs, aux tiens, comme à celui de ton père, de ta mère et la pêche à la mouche. Tout ça, c’est excellent, c’est très émouvant, je te félicite.
F Loup


Hello René,
Le plaisir de lire ton livre est égal au temps qu’il m’a fallu pour te remercier de ton amicale attention. Je te souhaite de beaux moments d’écriture pour le prochain.
Amitiés.
Elisabeth P.


Ma fille   » Mathilde  » m’a offert  Une enfance au café, j’ai pris beaucoup de plaisir à vous lire.
Le récit de vos souvenirs me rappelle un peu ma propre enfance. Le dernier chapitre me persuade s’il le fallait qu’il faut garder intact en mémoire les lieux de son enfance.
Cordialement,
D.H


Ami,
J’ai lu avec délectation ton récit d’enfance rurale. Je vais donc te parler de moi;
Je n’ai passé que des étés chez mes grands parents paternels nés natifs de Toscane émigrés en France avant 1914 naturalisés par le FRONT POPULAIRE mais j’ai retrouvé tout de suite dans ton récit ce sens de l’économie, ces légumes qui semblent pousser tous seuls et ces lapins dont le sort est scellé dés la naissance ainsi que ce penchant pour le jus de la treille.
J’ai été d’autant plus sensible à ta nostalgie que j’ai eu la chance de devenir propriétaire de la maison de mes souvenirs d’étés marseillais et que j’y fais quelques travaux pour  y accueillir dés juin de bons amis comme toi;
Je t’embrasse.
Bruno


Bonjour René.
J’ai beaucoup aimé lire tes chroniques d’enfance. Que de souvenirs et de richesses dans ce récit.
Merci beaucoup… Et bonne chance pour les séances de dédicaces. Mais en as tu besoin ?  Tu peux être heureux d’avoir mis tout ton cœur pour que ces souvenirs ne soient jamais perdus pour tes petits enfants et les suivants et …pour les petits rats des villes comme moi qui n’ont connu dans leurs jeunes années que le béton et l’ennui souvent.
Gisèle


Mon cher René,
C’est un vrai plaisir de se laisser gagner par la lecture de cette enfance au café… les images apparaissent sans effort. Fluide qui nous transporte vers des odeurs, des bruits, des lumières saisonnières… on est dans cette maison … certaines résonnances avec ce que j’ai pu moi même entendre et ressentir de « mes anciens … beaux livres ».
Frédéric


J’ai lu ton livre. J’ai beaucoup, beaucoup aimé. J’ai trouvé, mais je le savais déjà, que tu écrivais très bien, que tu as une grande sensibilité, que tu as le sens du détail, du souvenir plein de poésie et que toutes ces scènes que tu racontes… moi je n’ai pas vécu la même chose, parce qu’on a pas tous la même enfance… on a l’impression d’y être, que les gens existent, que ton grand-père existe, que ta grand-mère existe, que tous les gens dont tu nous parles sont de vrais gens et qu’ils sont là devant nous et c’est très, très, très joli.
Marie-Laure


Cher René
Je viens de finir ton livre que j’ai lu avec un très grand plaisir, en deux fois. 
J’ai souri, j’ai ri et j’ai même eu une larme. 
Ayant trop enseigné la littérature pendant des années, je n’en lis plus depuis un bout de temps,  mais tu m’as fait retrouver ce plaisir.
Peut-être parce que te connaissant, je sentais un lien réel presque charnel avec ce que je lisais. Ca me permettait de mieux connaître quelqu’un que je n’ai souvent qu’entr’aperçu et de me dire « putain, il y avait aussi tout ça en lui !! »
 J’ai aimé le ton de langue parlée, en fait très travaillée  qui donne un parfum de langue d’enfant mais sans fausse naïveté. 
J’ai aussi apprécié que ce texte soit sans véritable mélancolie ou nostalgie larmoyante du genre « C’était le bon temps ! « 
En même temps,  même si je suis né un peu après toi (1951) j’ai reconnu quelque chose de ma propre enfance, dans ce monde d’adultes des années 50. 
J’ai été élevé en partie par une grand-mère femme du peuple (bretonne d’origine)  mais en Béarn où j’ai côtoyé un monde paysan pas si différent des auvergnats de ton enfance.
 Un monde encore traditionnel , parcimonieux, laborieux, figé dans ses routines,  parfois « primaire » et en même avec une saveur des petites choses de la vie dans la richesse des gestes quotidiens, les relations interpersonnelles et la qualité des sensations qui me semble se déliter depuis que nous passons nos vies passivement devant des écrans et que, toi,  tu as si bien su rendre concret et vivant dans tes vignettes.
C’est vraiment bien Monsieur Neyret. 
Au plaisir de revoir pour te féliciter de visu.
Marcus


Viens de finir les souvenirs émouvants et rigolos, un bon moment passé avec toi dont on entend la voix. À quand la suite ?
LoVal


Fier d’entrer dans ce site épuré, digne d’un polar de Neyret ! Neyret, vous savez ? L’auteur de Mort au Comptant et du futur Yes Kill; Neyret, l’homme qui prend la mouche comme personne et la lance comme Neyret, le roi du no kill. Neyret quoi !
Allez mon vieux, suivez un peu l’actualité. Ils sont nuls ces mecs, jamais au courant de rien.
Bon allez j’y retourne; où ça ?
A la pêche pardi !
John B


J’ai beaucoup aimé ton livre. Très émouvante évocation d’un monde englouti.
À toi.
Laurent


René,
Ce récit sur ton enfance m’a semblé irréel. Quand on connait ce que tu es devenu on arrive pas à imaginer une enfance comme ça. Une culture de la famille, sans ouverture sur le monde. Ce récit m’a rappelé le Marcel Aymé des Contes du chat perché. J’ai adoré, c’est frais, pas pathos du tout. Pour notre monde actuel de vitesse on a besoin de petits trucs comme ça.
J’avais l’impression d’être dans un film, en ayant du mal à faire la différence entre les personnages. Tout le monde se déplace en même temps. Cet écrit est terriblement naturel.
Véronique S.D.M.


J’ai déjà lu le dernier Neyret, c’est un ami qui me l’a offert et j’ai beaucoup aimé. Ce type avait un sujet en or, mais il l’a en plus traité avec une verve et une force souterraine qui fait superbement vivre cet univers enfui de la terre, du village, de la dureté simple et évidente.
Sylvie


Coucou
Je voulais te faire part d’une nouvelle fan lectrice assidue et inattendue de ton dernier ouvrage ! Ma fille Nine 7 ans s’y plonge chaque soir avec délices avant de s’endormir. C’est son premier livre sans image !  Elle me l’a piqué au pied de mon lit. Mieux que Harry Potter;))
Bisous a tous.
S


Suis bien arrivée hier à Aix. J’ai commencé la lecture du livre de ton papa. Par moment, j’ai l’impression d’écouter mon père raconter son histoire !! La vie dure de l’époque, la pudeur dans les relations humaines au sein des familles.
Pascale


Cher René,
C’est avec un grand plaisir que j’ai reçu votre livre. Je l’ai commencé tout de suite, mais me suis arrêtée à la boutasse (car pas eu le temps de finir.) Trop bien !
Je me retrouve dans ce livre. Non pas au café, car mes parents n’avaient pas un café. Mais une ferme de 6 vaches, chèvres, cochons, etc. C’était vraiment le bon temps et moi petite fille on me traitait de fille de paysan, (je puais la vache.) Eh ! Oui. Mais quoi faire ! On se lavait, comme vous, une fois par semaine. Eh alors ! On était pas si con que ça ! En fin de compte.
Enfin pour vous dire que votre livre est trop bien, trop génial. Quoi dire de plus ? Envie de vous lire encore et encore.
En tout cas, super bien ce livre. J’en veux encore des histoires vraies comme ça !! C’est trop génial.
Cordialement.
Marie


Cher René,
J’ai achevé ma lecture de votre si beau livre: Une enfance au café.
Laissez-moi vous dire qu’il y a bien longtemps qu’un livre a su me donner le sourire, me faire rire, me mettre la larme à l’œil, vous l’aurez compris me toucher réellement.
La BONNE littérature se fait rare (sans chercher à critiquer qui que ce soit) mais votre style et votre simplicité m’ont profondément touché.
Votre livre m’a ouvert les yeux sur une époque antérieure à la mienne, mais pas si lointaine.
J’avoue avoir lu votre livre d’une quasi-traite et être impatiente de lire un autre de vos livres (ce que je compte faire incessamment sous peu).
Je compte en parler à mes proches et faire connaître autour de moi votre indéniable talent.
Si je devais résumer votre livre en un mot, je le qualifierais de « chef-d’œuvre ».
Un grand bravo à vous !
Rachelle D.

Traiter la question du tombeau de Jésus dans le style enquête à rebondissements pour ne pas dire « polar » relève de l’exploit. Celui qui lirait ce livre comme tel, passe à côté de toute la richesse qu’il contient.
Les nombreux personnages du groupe et leurs invités sont passionnants par leurs diversités professionnelles, archéologue, paléographe, avocat, agent du Mossad… et par leurs religions, musulman, chrétien, juif, falasha…. On rentre très vite dans l’énigme qui les préoccupe et qui les conduit à cette quête basée sur des éléments historiques et mystiques des religions monothéistes. En permanence, l’auteur incite le lecteur à se documenter (Concile de Trente, Zoroastre, les mantras, les différentes religions, bar-mitsvah, les esséniens, les vellaves, les falashas…). Il ne cherche pas à établir la vérité, mais il interpelle, car parfois on ne sait plus si on est dans le roman ou dans le vrai. D’ailleurs, dans ce domaine, la vérité n’est pas toujours évidente à établir (exemple chapitre 3) car il faut toujours laisser une part de mystère dans une religion, conclusion d’ailleurs à laqu’elle arrive Robert dans sa conférence.
Le rythme donné par ces diners du dimanche soir est excellent. C’est un des savoir-faire de l’auteur que l’on retrouve dans d’autres de ses livres. On a toujours envie de passer au diner suivant pour connaître la suite et savoir qu’elle excellente bouteille Pascal sortira.
Le style est précis, bref, et va tout de suite à l’essentiel (180 pages). Avec un tel sujet l’auteur pouvait en écrire trois fois plus, ce qui me fait dire que la dégustation  de bons vins, donne des idées claires.
La grande interpellation de ce livre reste pour moi, le choix du thème. Cet ouvrage a dû demander à l’auteur un gros travail sur toutes ces religions car les dialogues sont très documentés.  On ne choisit pas  un tel sujet, au simple motif d’avoir rencontré  F.B. et R.P.
Où l’auteur veut-il en venir ?  Sensibiliser ses lecteurs au phénomène religieux ? Inciter le croyant à une réflexion historique sur la religion ? Mettre en doute la Parole ? Ou rien de tout cela, il écrit pour le plaisir d’écrire et de faire passer à ses lecteurs un bon moment de détente (Les filles d’Ariane) ou de culture ? Ou finalement, ne serait-il pas lui-même en recherche ?
« Celui qui est en recherche est déjà sur le chemin de la vérité »
MASP  19 7 2022
PS sur un détail : j’ai travaillé de nombreuses années dans le groupe de la Cie Bancaire, notamment au 5 avenue Kléber. Au 7 (p102) il y avait un hôtel particulier que l’on appelait « l’immeuble de la comtesse ». Une irréductible qui ne voulait pas nous vendre son immeuble. Au 9 il y avait l’Hôtel Raphaël avec un bar au dernier étage mais je ne me souviens pas du nom de « A la Hague bar », ni des catacombes. Par contre derrière ces hôtels il y avait un blockhaus avec certainement des souterrains qui servait d’abris au « Haut Commandement militaire de la Wehrmacht, installé dans l’hôtel Raphaël.


Salut René,
j’ai fini ton bouquin Oh God ! Je dois t’avouer qu’au début j’ai eu un peu de mal avec ton livre mais c’est devenu captivant et je l’ai croqué en 2 jours, bien sûr je n’ai pas fais que ça.
Il faudra un jour que je te pose des questions sur le vrai et l’imaginaire.
À bientôt après que cette merde de corona (pas la bière) soit éradiqué.
Par contre Françoise a du mal avec la pêche.
Donc j’attaque la pêche.


L’écriture est plutôt agréable même si je ne suis pas sure que l’emploi du passé simple était nécessaire…
Évidemment, le sujet me passionne ! Dans les premiers chapitres, vague sentiment de ne rien apprendre puis on se prend au jeu, on découvre de nouvelles hypothèses (enfin j’ai). Bravo pour la conclusion… d’une grande sagesse.
Je ne voudrais pas dévoiler la fin… ou alors, personne ne lirait votre roman !!! Mais si ce n’était pas une fiction, et si la découverte était dévoilée… Mon Dieu ! (C’est l’expression consacrée !). En tout cas, grâce à vous, j’ai fait plusieurs recherches sur le sujet. Toujours bon d’apprendre.
Autre chose que j’ai apprécié : les descriptions des dîners. Alléchant !
Marie-Laure Daudet – Faculté catholique de Lille


Cher René,
J’ai achevé la lecture de Oh God ! :sur les traces du tombeau de Jésus Christ hier soir.
Le suspens et la présence de nourriture (miam) m’ont particulièrement plu.
L’histoire en elle-même est très intéressante et m’a plus d’une fois amené à me remettre en question quant à mes connaissances sur la religion.
Athée aussi, je suis très curieuse à propos de ce fameux tombeau, néanmoins votre conclusion fut des plus sages.
Enfin, votre respect des religions se ressent nettement dans votre roman, chose que j’apprécie étant partisane de la tolérance.
Un roman passionnant qui a su me faire passer un moment on ne peut plus agréable.
Encore une fois, BRAVO!
Amicalement,
Rachel


Ayant une mémoire d’oiseau, je ne me souviens plus sur quelle blog ou site tu avais suggéré de t’écrire. Alors ce sera un mail.
Mais pourtant je me souviens parfaitement de cette lecture insolite que j’ai faite il y a plusieurs mois : OH GOD !
Les liens entre les textes fondateurs des différentes religions relèvent vraiment de l’érudition. La rencontre improbable des personnages si différents fonctionne très bien. De l’histoire, une histoire, de la culture, du suspense, tout est réuni pour passer un réel moment de plaisir.
Merci !
Brigitte Padovani


Bravo pour ton livre que j’ai lu avec plaisir. J’ai appris plein de choses que j’ignorais. Merci beaucoup. On en parlera plus en détail quand on se reverra.
Claude


J’ai beaucoup eu de plaisir à lire ton livre. C’est une lecture très fluide et très distrayante. L’intrigue nous tient en haleine jusqu’au bout.
Les personnages, les amis, bien construits et super sympathiques.
On  ressent  bien que livre est le résultat de trois amis passionnés qui se sont beaucoup amusés. Toi pour l’écriture et les deux autres pour l’idée et les très grandes connaissances historiques.
Le lecteur en apprend beaucoup sur le contexte. Je pense aussi que ton livre peut faire l’objet d’un film.
Beaucoup de plaisir, et merci.
Très amicalement
Joël


Il y a Marco le détective, Pascal l’avocat, Robert le prof, Louise l’archéologue et puis Bertel juif Ethiopien ex-balayeur, la séduisante Rivka et d’autres.
Ils se réunissent pour partager bonne chère et bons vins mais pas seulement. Ce sont des curieux. Aussi quand une étrange médaille les amènent à s’intéresser à l’histoire de la Chrétienté, les voici qui mettent en branle une expédition pour tenter de trouver la tombe de Jésus.
Avec eux on s’instruit considérablement sur l’histoire des religions monothéistes : des manuscrits de la mer morte au Concile de Trente, des Zoroastriens aux Esséniens, de Jésus à Mohamed, le livre regorge d’informations historiques passionnantes. Marco a un peu de mal à suivre, nous aussi parfois, mais qu’importe, au fond l’absence de réalisme de l’histoire car il y a la belle et brillante Rivka qui nous emmène jusqu’en Israël dans cette étonnante ballade historique.
Plus qu’à lire la Bible et les évangiles…
Patrice

Bonsoir René,
Tout d’abord très honoré que tu me demandes mon avis sur un de tes manuscrits. Je viens de le terminer.
Après Fausses donnes et les filles d’Ariane, dont on retrouve et reconnaît tout de même le style, même si Bruno (qui me l’a confirmé) n’a pas participé à son écriture, on est évidemment un peu surpris par la nature et le déroulé de l’intrigue ou plutôt du scénario.
Car j’aurai  bien vu ce manuscrit comme un scénario de cinéma, c’est comme ça en tout cas que je l’ai ressenti en le lisant .
La lecture est pour le moins très imagée, très vivante, on est presque dans l’action (… en a-t-on envie ?  Fantasmes ?). L’idée de faire revivre la même scène successivement par les 2 personnages est une idée qui rend l’action encore plus visuelle et donc très cinématographique.
Au plus j’avançais dans la lecture, plus je pensais et retrouvais le cinéma italien, le cinéma de nouvelles comme celui de Dino Risi, Alberto Sordi, Nino Manfreddi ou Vittorio Gassman auraient pu être Marco et évidemment Andrea Ferreol Simone.
Comme ces courtes nouvelles italiennes, c’est le terme de réjouissant qui vient à l’esprit. On aurait pu dire, vue l’énergie sexuelle et l’intensité… ! du personnage de Simone… jouissif.
Prenant aussi, vues ses  formes charnelles et charnues dans lesquelles on n’a pas de mal à s’imaginer se perdre ou se noyer. Mais non, le terme réjouissant est celui-ci qui va le mieux à ce manuscrit de l’histoire de cette brève rencontre.
Une petite critique, plus exactement un petit regret en tout cas en ce qui me concerne : j’ai été déçu par l’épilogue qui ne correspond pas à ce que l’on attend de l’ampleur de ces 2 personnages, en tout cas celui de Saillemone : ils ne peuvent pas se quitter de cette façon.
Je vois bien cette nouvelle faire partie d’un joli livre de nouvelles… non plus à l’italienne mais  à la française.
Au boulot donc pour en écrire (avec Bruno ?) encore 2 ou 3 de cet acabit. Au plaisir de le lire « en avant-première » pour rester devant l’écran dans le monde du cinéma (où, l’on espère, on pourra retourner bientôt). Et au plaisir de nous rencontrer un jour.
Bonne soirée.
Marc


Je viens tout juste de lire votre texte Inhibition et je suis prête à vous livrer mon avis dessus.
Je me suis sentie embarquée dans une odyssée humaine, découvrant deux personnages aux caractéristiques bien différentes.
Les opposés s’attirent semble assez bien résumer le point de départ de leur relation, cependant, il me semble, votre livre explore un aspect plus profond que celui-ci, notre capacité de toujours changer, s’améliorer entre autre.
La façon dont tout deux abattent leurs préjugés et peurs pour se rapprocher l’un de l’autre est, je dirais, émouvant et beau.
Votre livre est purement sincère et sage, démontrant que rien ne saurait battre l’amour et la volonté du coeur.
J’ai particulièrement apprécié votre style, vos descriptions vraiment imagées qui permettent de visualiser les choses de façon réaliste et aussi à travers les yeux de Marco et de Simone.
Un grand bravo ! Amicalement,
Rachelle


Moi aussi, j’avais très envie de passer la nuit avec Saillemone, la chair Saillemone, la douce Saillemone -oui, douce Saillemone, à bien y réfléchir plus douce que shark, du moins au lit…- bref je brulais de m’y coller à la Saillemone, poussé par l’envie de te lire, et par mes hormones aussi sûrement… Je n’avais pas eu le temps de me reserver la soirée adéquate, tranquille dans un canapé, un verre de raide à porter de main bien-sûr, à faire défiler ton oeuvre sur mon portable, ouvert aux plaisirs des sens… Ce soir enfin, j’ai pu me plonger dans les charmes outsize de ta vaste héroïne, me lover dans ses immensités, m’ennivrer de ses effluves diverses, me doper de ses phéromones, de ce phénomène -hilarant, moulé dans le bocal téléphonique, à faire les yeux doux à notre détective- explorer ce vaste monde charnel… que je ne connaissais pas, sûrement trop éloigné de mes paysages phantasmagoriques…
Bon, j’ai hâte d’en parler avec toi, pas de mes phantasmes, de ton bouquin, je suis bien curieux de savoir ce qui t’a amené sur un tel chemin, si tant est que ce soit dicible…
Je n’ai pas parlé de Marco, personnage dont je me demande s’il n’a pas un petit air de famille avec ton nouvel ami, Gabriel du Poulpe…
Merci de m’avoir fait partager tes inhibitions talentueuses, j’espère qu’on en reparle rapidement sur une terrasse parisienne…
Je t’embrasse.
Christian

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